Titre : |
Ce que l'Homme fait à l'Homme Essaisurle mal politique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Myriam Revault d'Allonnes, Auteur |
Editeur : |
Paris (27, rue Jacob 75006) : Le Seuil |
Année de publication : |
2016 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-023702-4 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Mal politique liberté d'agir violence |
Index. décimale : |
303.62 Violence, désordre, terrorisme |
Résumé : |
Au XXe siècle, les « camps » où des États et des régimes politiques programmèrent l'anéantissement de l'homme ont révélé la « condition inhumaine ». L'histoire a pris le visage non plus du destin, mais de la terreur. D'où la question : avons-nous vu surgir ici la figure exceptionnelle du mal, du mal dans une violence et une horreur sans précédent ? Ou bien avons-nous affaire ici, comme l'affirme Hannah Arendt, à la banalité du mal, tout simplement ?C'est de cette expression, dont le sens a été usé avant même d'avoir été compris, que part Myriam Revault d'Allonnes pour tenter d'approcher ce que l'homme peut faire à l'homme, c'est-à-dire la virtualité toujours présente du mal politique. Pour comprendre le présent de ce mal, il faut rouvrir le passé, remonter au mal radical selon Kant, revenir aussi au lien entre le tragique et la capacité d'institution politique chez Aristote, puis relire les Modernes : tels Hobbes et deux de ses grands commentateurs, Carl Schmitt et Leo Strauss. On trouvera dans cette lecture inédite, comme un fil conducteur, l'idée d'une humanité dénuée de toute prétention à l'innocence, d'une humanité rendue au mal de la liberté (de sa liberté) et donc à sa puissance d'agir. Avant-propos 1. Banalité du mal ? 2. Kant et l'idée du mal radical 3. L'abîme de la socialité dans la constitution du vivre-ensemble 4. La radicalitédes ModernesConclusion |
Ce que l'Homme fait à l'Homme Essaisurle mal politique [texte imprimé] / Myriam Revault d'Allonnes, Auteur . - Paris (27, rue Jacob 75006) : Le Seuil, 2016. ISBN : 978-2-02-023702-4 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Mal politique liberté d'agir violence |
Index. décimale : |
303.62 Violence, désordre, terrorisme |
Résumé : |
Au XXe siècle, les « camps » où des États et des régimes politiques programmèrent l'anéantissement de l'homme ont révélé la « condition inhumaine ». L'histoire a pris le visage non plus du destin, mais de la terreur. D'où la question : avons-nous vu surgir ici la figure exceptionnelle du mal, du mal dans une violence et une horreur sans précédent ? Ou bien avons-nous affaire ici, comme l'affirme Hannah Arendt, à la banalité du mal, tout simplement ?C'est de cette expression, dont le sens a été usé avant même d'avoir été compris, que part Myriam Revault d'Allonnes pour tenter d'approcher ce que l'homme peut faire à l'homme, c'est-à-dire la virtualité toujours présente du mal politique. Pour comprendre le présent de ce mal, il faut rouvrir le passé, remonter au mal radical selon Kant, revenir aussi au lien entre le tragique et la capacité d'institution politique chez Aristote, puis relire les Modernes : tels Hobbes et deux de ses grands commentateurs, Carl Schmitt et Leo Strauss. On trouvera dans cette lecture inédite, comme un fil conducteur, l'idée d'une humanité dénuée de toute prétention à l'innocence, d'une humanité rendue au mal de la liberté (de sa liberté) et donc à sa puissance d'agir. Avant-propos 1. Banalité du mal ? 2. Kant et l'idée du mal radical 3. L'abîme de la socialité dans la constitution du vivre-ensemble 4. La radicalitédes ModernesConclusion |
|  |